Ce mec était mon meilleur ami, j'ai commencé le skate avec lui et il est par la suite rapidement passé au roller. Ce mec était doué a un point inimaginable. Un talent de malade et une excellente personne, hyper drôle et doué dans tout.
Il tentait toutes les figures, rien ne lui faisait peur. On s'est perdu de vue quand il est partit aux states. On ne s'est pas vus depuis bientôt 22 piges (un soir chez moi après le taf !) et j'espère qu'il va bien, qu'il est en forme ainsi que ses 2 frangins.
Jerem, si tu lis ça, fais signe, ça ferait du bien de savoir comment ça va de ton côté.
TAD (natural born killers :) )TAD: on Numéro 16: Jeremy Jimenez
Superbe témoignage et analyse du roller (agressif). Pas banal d’avoir le ressenti et l’intérêt de quelqu’un d’extérieur à la sphère.
Franchement je suis convaincu qu’une « méga flipette » peu se faire plaisir, sans forcément se faire mal en chaussant des roulettes. Il suffit d’avoir des roulettes et de tenter n’importe quoi, même un truc archi nul, pour que les potes présents munis de roulettes s’exaltent au plus haut point, juste parce qu’ils sont aussi contents que toi. C’est peut être aussi cette communion qui rend le roller aussi particulier et addictif. On a plus mal pour ceux qui se font mal et on est souvent plus content que ceux qui se réjouissent.
Perso j’ai 50 ans et je me suis mis au roller (agressif) à 39 ans. J’espère ne jamais avoir à arrêter, JAMAIS !!!!
Longue vie au roller et à ceux qui en parlent ;-)GaWaX: on Moi, le roller, j’y pige que dalle.